samedi 5 décembre 2009

Rêve de cette nuit...


Je rentre dans un (mon) lycée, on est plusieurs à se bousculer pour rentrer dans le bâtiment.
Il y a un examen très important prévu mais je n'étais pas au courant, je n'ai pas révisé, je ne sais rien.
Je suis le mouvement quand meme, je suis bien obligé d'y aller.
Devant moi, la foule des elèves se séparent. Il y a deux salles au rez de chaussé et une salle en haut. Peu de personne choisissent celle d'en haut. Je préfère aller là où il y a le plus de monde. Mais je crois reconnaitre une amie de dos qui se dirige vers le grand escalier. Je décide de la suivre même si j'aurais quand meme préféré rester avec la troupe.

La salle est très mal préparée. Par endroit il y a des rangés de chaises alignées mais pas de table.
Mon amie s'installe. Ce sont des rangés de tables pour 4 personnes mais on doit être seul par table. Je m'installe derrière elle.
La surveillante/animatrice ressemble à l'animatrice des ateliers Arteis : petite, un peu boulote des cuisses, mais très féminine et qui doit attirer les hommes comme un petit bonbon.
Je m'installe.
Elle demande qui n'a pas de stylo. Horrifiée je me rends compte que je n'ai meme pas ma trousse dans mon sac ! Je lève le doigt comme d'autre et elle me tends un espèce de feutre épais, noir et terriblement long. Ce n'est pas les feutres que je préfère mais je vais faire avec.

J'aimerais commencer à écrire.
Mais je suis genée, complétement écrasée par le type installé derrière moi. En fait il est assis sur sa table, dos à dos avec moi et son cartable gros et lourd m'appuie sur les épaules et m'écrase. Je suis bloquée. Il est tellement large que même en essayant de me déplacer vers la droite ou vers la gauche il continue de m'oppresser. J'ai la nuque complétement bloquée et je suis obligée de me baisser et de rester dans cette position inconfortable et douloureuse. Je donne des coups avec les épaules pour lui faire comprendre qu'il me gène mais il ne réagit pas. L'animatrice s'approche vers nous et demande si tout le monde est bien installé. Comme elle est proche je peux répondre sans trop attirer l'attention. Elle me répond que oui forcément je suis bien mal pour travailler et demande au type derrière moi de se pousser. Qui refuse !

Il commence alors à brailler et finit par gesticuler tellement fort qu'il devient dangereux. Mais il a libérer mes épaules et je me sens enfin libre de me redresser et de bouger. c'est un soulagement.
L'animatrice a finit par le maitriser physiquement et le tiens pas les jambes. Elle me demande de lui attraper le haut du corps pour qu'on le transporte hors du batiment. Je m'execute et nous voilà en train de le déplacer, lui braillant toujours plus fort, au milieu des elèves qui nous regardent redescendre le grand escalier...
Fin du rêve

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