En réalité, c'est donc pour lire ce livre, que j'ai démarré toute la série des Bridgertons (sans regret of course !) Je l'avais noté parce que Pimpi en parlait comme d'une romance inspirée de Cendrillon (LE conte de fée ultime !) et que, comme je suis inscrite à son challenge Once Upon A Time, il fallait tout de même réussir à caser une lecture sur ce thème dans l'année !
C'est donc chose faite grâce à Benedict... Benedict, le second des Bridgertons, celui qui était pour le moment, assez discret alors qu'il est le plus grand des frères (d'ailleurs pour le moment, Gregory est totalement absent... espérons qu'il fera une entrée fracassante !). Figurez-vous que lors du bal masqué organisé par sa mère, Benedict tombe amoureux d'une femme mystérieuse ! Tellement mystérieuse qu'il ne connaît même pas son nom lorsqu'elle s'enfuit à minuit ne lui laissant que ses larmes pour pleurer et ... son gant !! Oui, Julia Quinn a décidé d'innover ! Au diable les chaussures (qui auront un tout autre rôle dans cette histoire), notre héros va se lamenter sur un gant !
Pendant ce temps... notre héroïne, Sophie de son petit nom, est à la rue ! Parce que lorsque sa patronne découvre (ha oui, alors en fait c'est sa belle-mère, une garce comme dans le conte !) queCendrillon Sophie est allée au bal masqué (grâce à l'aide des autres domestiques, pas de marraine la fée !), qu'elle a tapé dans l'oeil du prince de Benedict, éclipsant au passage ses propres filles (vous suivez ?) et qu'en plus, Sophie a porté SES chaussures, là, c'est la goutte d'eau pour la marâtre, qui envoie sa belle-fille se faire voir chez les Grecs ! Enfin, où elle veut tant que ce n'est pas sous son toit...
Voilà donc comment Sophie en sera réduite à travailler comme domestique à la campagne pour ne pas risquer de tomber sur sa belle-mère et surtout pour éviter Benedict dont elle rêve chaque nuit ! Mais comme ce n'était que le début du roman, vous vous doutez bien que Benedict et Sophie auront l'occasion de se retrouver... sauf que Benedict ne reconnaît pas sa belle mystérieuse en Sophie, la domestique... So saaad !! Sophie est évidemment un peu vexée (normal !) mais ce dit que c'est mieux ainsi... Allez, je m'arrête là pour ne pas vous raconter la suite savoureuse ! J'ai particulièrement aimé ce tome (même s'il est pénible que Sophie cache si longtemps son identité et à la toute fin, le passage par la p**** n'était peut-être pas nécessaire ?? ça fait too much !)
C'est donc chose faite grâce à Benedict... Benedict, le second des Bridgertons, celui qui était pour le moment, assez discret alors qu'il est le plus grand des frères (d'ailleurs pour le moment, Gregory est totalement absent... espérons qu'il fera une entrée fracassante !). Figurez-vous que lors du bal masqué organisé par sa mère, Benedict tombe amoureux d'une femme mystérieuse ! Tellement mystérieuse qu'il ne connaît même pas son nom lorsqu'elle s'enfuit à minuit ne lui laissant que ses larmes pour pleurer et ... son gant !! Oui, Julia Quinn a décidé d'innover ! Au diable les chaussures (qui auront un tout autre rôle dans cette histoire), notre héros va se lamenter sur un gant !
Pendant ce temps... notre héroïne, Sophie de son petit nom, est à la rue ! Parce que lorsque sa patronne découvre (ha oui, alors en fait c'est sa belle-mère, une garce comme dans le conte !) que
Voilà donc comment Sophie en sera réduite à travailler comme domestique à la campagne pour ne pas risquer de tomber sur sa belle-mère et surtout pour éviter Benedict dont elle rêve chaque nuit ! Mais comme ce n'était que le début du roman, vous vous doutez bien que Benedict et Sophie auront l'occasion de se retrouver... sauf que Benedict ne reconnaît pas sa belle mystérieuse en Sophie, la domestique... So saaad !! Sophie est évidemment un peu vexée (normal !) mais ce dit que c'est mieux ainsi... Allez, je m'arrête là pour ne pas vous raconter la suite savoureuse ! J'ai particulièrement aimé ce tome (même s'il est pénible que Sophie cache si longtemps son identité et à la toute fin, le passage par la p**** n'était peut-être pas nécessaire ?? ça fait too much !)