mardi 13 septembre 2011

L'héritière de Rosewood - Brenda Joyce



J'avoue qu'en ouvrant ce livre j'ai eu un choc en découvrant qu'il s'agissait d'un vrai Harlequin !! God, ça faisait bien longtemps ! 1812, Virginia est orpheline depuis que ses parents sont morts dans un accident. Depuis c'est son oncle à Londres qui est son tuteur. Mais ce qui déplaît fortement à Virginia (plus que l'école pour jeunes filles dans laquelle il l'a envoyé) c'est qu'il a décidé de vendre la plantation de tabac créée par son père. Décidée à tout pour sauver son héritage et la terre qu'elle aime, la jeune fille quitte la Virginie en bateau pour rejoindre son oncle et tenter de le convaincre qu'elle peut diriger le domaine...

Sauf qu'une fois en mer... elle est enlevée par le capitaine irlandais (ho hiééé !!) Devlin O'Neill qui a une sacré dent contre le vieil oncle depuis que tout gosse, il a vu celui-ci décapiter son père... J'en ai vu se fâcher pour moi que ça ! Non content de le faire cocu avec sa femme et de le ruiner petit à petit, il trouve que kidnapper la nièce du vieux grigou est la cerise sur le gâteau ! Mais la cerise (Virginia donc) se défend bien... les deux sont attirés l'un vers l'autre et voilà le jeu du "je t'aime moi non plus" qui démarre... Devlin ayant d'ailleurs une sacrée longueur d'avance sur la jeune fille puisque celle-ci réalise très rapidement ce qui lui arrive... Devlin est sacrement plus long à la détente !

Pour autant, j'ai passé un très bon moment avec ce bouquin ! Il souffre de quelques longueurs et répétitions (Devlin met un temps pas possible à comprendre qu'il est amoureux et Virginia ne cesse de le repousser afin de se protéger pour mieux fondre dans ses bras dès qu'il lui prête attention), les scènes "cochonnes" manquent d'originalité mais il y a une brochette de personnages secondaires intéressants... d'ailleurs, j'ai découvert qu'il y avait une suite et vu le nombre de personnage masculin tous aussi beaux les uns que les autres, j'aurais du m'en douter !

Et puis que voulez-vous... le mélange de Londres, des plantations de tabac en Virginie et de l'Irlande ne pouvait que me séduire !

3 commentaires:

Syl. a dit…

Ouille ! Sandy !!! J'ai mal à la tête et quand je rigole cela fait marteau piqueur... J'ai ri et je continue de rire à "scènes cochonnes". Elle est horrible cette expression, elle a un caractère vieil érotisme libidineux.
Merci quand même pour ce moment joyeux. Bisous

Cess a dit…

LOL le coup du kidnapping c'est pas ça dans TOUS ces livres ???? :D

Sandy a dit…

@ Syl : Mouiii, j'adore cette expression !! C'est tout à fait ça, "vieil érotisme libidineux" ! J'aime bien !

@ Cess : C'est sur que c'est une ficelle assez grosse ! ;o)