dimanche 27 décembre 2015

Le pays du nuage blanc - Sarah Lark



J'avais souvent hésité devant ce roman (ou devrais-je dire, ce pavé !), charmée par sa couverture mais légèrement rafraîchit par ses plus de 700 pages ! Pas le genre de lecture que l'on case un week-end et un tel roman avait toute les chances de trainer dans ma PAL ad vitam aeternam ! Mais j'avais finalement craqué... et il m'a fallu un an et l'avis enthousiaste d'Emi pour le ressortir ! Et croyez-moi, je ne le regrette pas une seconde !

Il serait inutile de trop vous raconter l'histoire. Sachez seulement qu'en 1852, Hélène, préceptrice sans avenir, décide de quitter Londres suite à une petite annonce, pour épouser un parfait inconnu, éleveur de moutons en Nouvelle-Zélande. Dans le bateau elle rencontre Gwyneira, aristocrate promise au fils d'un riche éleveur, qu'elle n'a jamais rencontré non plus. Chacune pleines d'espoirs et de rêves quittent à jamais la vie qu'elles connaissaient pour une région totalement inconnue. Unie par une solide amitié, elles feront alors face à leurs désillusions, pour faire de la Nouvelle-Zélande, leur pays d'adoption. 

J'ai frémi tout au long de ses 700 pages ! J'ai d'abord été charmée par l'ambiance, par l'attitude calme et pleine d'honneur dont fait preuve Hélène, puis par l'enthousiame et la jeunesse d'esprit de Gwyneira. J'ai été séduite par certains hommes, dégoutée comme jamais par d'autres... Je suis tombée amoureuse des paysages de la Nouvelle-Zélande... J'ai hurlé de peur et de rage, j'ai eu besoin du soutien d'Emi au fur et à mesure de ma lecture, et puis j'ai soufflé de soulagement, j'ai souri aussi et bien sur, j'ai pleuré ! Bref, je suis passée par toutes les émotions avec ce roman. Je voulais à la fois avancer dans l'histoire et ne jamais la finir.

Clairement, je n'arrive pas à décrire la beauté de ce récit, que ce soit dans son imaginaire ou dans l'écriture, mais je suis tombée amoureuse de ce roman ! Un véritable coup de coeur que je compte bien prolonger rapidement par la lecture du tome 2 !!

jeudi 10 décembre 2015

Gravé dans le sable - Michel Bussi



Il y a bien longtemps que je n'ai pas pris le temps de rédiger un billet lecture ici... je ne suis plus bien sure de savoir comment faire d'ailleurs (si je l'ai jamais su !) Il vous faudra donc être indulgente !

Lorsque j'avais découvert Un avion sans elle, une petite tradition était née : toujours un Bussi dans la valise ! Cette fois, j'ai donc emporté Gravé dans le sable à Rome. Honnêtement, je n'ai pu y mettre le nez dedans qu'à partir du dernier soir, un thé à la main, pendant que mon homme s'octroyait une petite sieste ! Et je l'ai dévoré lors du vol de retour !

Dès les premières pages, vous êtes plongé en Normandie, pendant le débarquement des forces US. Il faut de la chance pour ne pas être la cible des balles allemandes, mais la chance, Lucky, il en a à revendre ! Entre contrats secrets, honneur bafoué, amours naissants ou se perdant, l'enquête démarre des années plus tard. Entre Washington et la Normandie, les femmes mènent la danse et cherchent à faire éclater ou à étouffer la vérité, selon leurs positions.

Ce roman est présenté comme l'une des premières oeuvres de l'auteur et donc différent des autres. Si certains lui reprochent des longueurs et quelques défauts en tant que polar, je crois que c'est justement ces défauts qui me l'ont fait tant apprécier. Parce que Michel Bussi ne nous raconte pas seulement une enquête, il nous raconte aussi une histoire. J'aime toujours autant le ton de cet auteur, cette manière qu'il a d'entremêler les récits, cet humour caustique qui le caractérise et ces personnages tellement cynique qu'on aime les détester ! 

lundi 7 décembre 2015

Moi après mois : Novembre 2015



Un passage éclair par Brive pour la foire aux livres ! Retrouver avec plaisir la princesse des champs et sa famille ! Et décidément, se rendre compte que je ne suis pas faite pour la foule ! Quelques mots avec Michel Bussi et après avoir aimer l'écrivain, apprécier l'homme jovial et au contact facile / Plaisanter dans la file d'attente pour Joël Dicker... Marrant comme y a beaucoup de femmes tout de même... 
Moi : "Il est vachement jeune" 
Une femme dans la foule : "Et vachement beau !!" 
Préférer profiter du beau temps l'aprés-midi et se balader dans Brive / Apprécier le charme de la ville et de ses terrasses ensoleillées...


Rentrer à Toulouse et finir les valises en vitesse ! 
Foncer pour Rome et quelques jours selon la Dolce Vita ! 



Nuit noire à 17h... jambes fatiguées, froid... il nous reste qu'à prendre l'apéro ! 


L'happy hour où tu manges autant que tu bois ! 


Mon homme charmé par la gentillesse des Italiens ! Qui parlent tous anglais ou français heureusement ! Quelques mots d'italiens tout de même, ressortis de mes cours de lycée qui nous sauvent dans le bus ! Sont pas mauvais en vin rouge les Italiens ! En charcutaille et en fromage aussi d'ailleurs !


Et puis les glaces quoi !

Et la mozzaaaa !!!


Retour en France le 13 novembre / La fin de l'insouciance... / Les copines de wats'app pour retrouver le sourire et rire... Et un restau entre amis pour emmagasiner des bons moments

Quelques jours de repos à la maison... avant de ré-attaquer au boulot / 21 heures de travail en 2 jours... Compter les jours avant la fin... 
Essayer les mug cake un dimanche après-midi et se dire qu'il fallait pas !


Tenter les boutures du figuier de mon grand-père avec succès ! Et profiter de tailler les rosiers pour un dernier bouquet et une nouvelle fournée de bouture !


Être pleine d'envie pour Décembre et déjà plein d'espérance pour Janvier !