samedi 16 octobre 2010

Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants - Mathias Enard



Un joli petit livre qui circule en cette rentrée littéraire... je n'avais pas été convaincue pour le moment, ayant seulement noté la très jolie couverture... et puis j'ai lu le billet de Karine... et j'ai couru en librairie me le procurer !

J'ai tout aimé dans ce livre ! Des premiers mots (même le titre !) jusqu'à la dernière ligne de la note ! Partant d'un fait historique, l'auteur développe et brode une histoire poétique. Michel-Ange, l'artiste au début de son art, débarque à Constantinople en mai 1506, à la demande du sultan Bajazet qui lui propose de créer un pont.

Nous voilà immergé en Orient, parmi les senteurs, la musique, les danses. Nous suivons le quotidien de Michel-ange, homme complexe. Et puis il y a ces liens qui se tissent autour de l'artiste.

J'ai particulièrement apprécié les interventions de la danseuse.

Ce roman est une porte vers l'Orient, un voyage, un rêve... un moment de lecture magnifique !

9 commentaires:

bladelor a dit…

Oh, très tentée, je note ! J'avais zappé le billet de Karine, bizarre....

bladelor a dit…

PS : j'adore les p'tites news du 11 octobre, j'ai bien ri !!!

Anne Sophie a dit…

une très belle lecture, j'ai adoré !!!

Sandy a dit…

@ Bladelor : Ha oui bizarre, il ne fallait pourtant pas le manquer !

@ Anne-Sophie : oui un moment à part, un joli voyage !

**Fleur** a dit…

J'ai hâte de le lire aussi, j'espère que la bibliothèque l'a acheté...

juliette a dit…

moi je m'en fiche d'Enard mais j'ovationne le "P*** de b*** de m***" de ton blog it!

Sandy a dit…

@ Fleur : J'espère aussi !

@ Juliette : merci pour ton commentaire que j'adore ! surtout que ça ne s'arrange pas de ce coté là ! ;o)

Karine:) a dit…

Ravie que mon billet t'ait tentée, et que ça t'ait plu, en plus!!! Et là, je réalise que tu n'étais bizarrement pas dans mon Google Reader... voilà pourquoi j'en manquais des bouts! c'est réparé!

Syl. a dit…

Je comprends ! En octobre, je ne te connaissais pas encore. Je te note lorsque je ferai mon billet. Tu me donnes encore plus l'envie de le lire.